Titre de série : |
LA COUREE, T1 |
Titre : |
LA COUREE |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
ARMAND MARIE-PAULE, Auteur |
Editeur : |
PRESSES DE LA CITE |
Titres uniformes : |
LA COUREE
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Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
ROMAN
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Résumé : |
Dans le parler du Nord, la courée est , au milieu des maisons ouvrières, le coeur battant de la vie sociale. Les parents y bavardent, les enfants y jouent. C'est dans une courée que, dans la seconde moitié du XIXème siècle, la petite Constance, la narratrice, rencontre Frédéric et tisse avec lui de tendres liens que le destin va dénouer.
Orpheline très tôt, Constance va , à quatorze ans, entrer en usine. C'est la filature, ses contraintes, ses servitudes, l'univers rude du monde du travail. Pour y échapper, elle épouse Bart, ouvrier comme elle. Est-ce le bonheur?
Charlotte, sa fille aînée, reprend le récit commencé par sa mère. Avec elle, le lecteur pénètre dans ce Nord de la fin du siècle, sans joies, en pleine crise, en pleine grisaille. Une grisaille que l' amour éclaire, que l'espoir réchauffe. |
LA COUREE, T1. LA COUREE [texte imprimé] / ARMAND MARIE-PAULE, Auteur . - [S.l.] : PRESSES DE LA CITE, [s.d.]. Oeuvre : LA COUREELangues : Français ( fre)
Catégories : |
ROMAN
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Résumé : |
Dans le parler du Nord, la courée est , au milieu des maisons ouvrières, le coeur battant de la vie sociale. Les parents y bavardent, les enfants y jouent. C'est dans une courée que, dans la seconde moitié du XIXème siècle, la petite Constance, la narratrice, rencontre Frédéric et tisse avec lui de tendres liens que le destin va dénouer.
Orpheline très tôt, Constance va , à quatorze ans, entrer en usine. C'est la filature, ses contraintes, ses servitudes, l'univers rude du monde du travail. Pour y échapper, elle épouse Bart, ouvrier comme elle. Est-ce le bonheur?
Charlotte, sa fille aînée, reprend le récit commencé par sa mère. Avec elle, le lecteur pénètre dans ce Nord de la fin du siècle, sans joies, en pleine crise, en pleine grisaille. Une grisaille que l' amour éclaire, que l'espoir réchauffe. |
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