Titre : |
MADA |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
TRISTAN CLAIRE, Auteur |
Editeur : |
ENCRE BLEUE EDITEUR |
Année de publication : |
2008 |
Collection : |
LARGEVISION |
Titres uniformes : |
MADA
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ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84379-426-1 |
Note générale : |
ACHAT 2008 |
Catégories : |
ROMAN
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Résumé : |
Une histoire qui mêle le passé et le présent de cette femme à la tendresse grosse comme le monde, son enfance à Madagascar où ses parents ont été poussés à partir par le gouvernement français en 1951, le retour à La Réunion, son père alcoolique qui rêve toujours de l'impossible eldorado malgache, son époux trop souvent fataliste, ses quatre enfants dont l'une encore toute petite est morte du palu. « Oui, il en faudrait, des livres, des dizaines de rayonnages, des centaines d'ouvrages, des milliers de pages, pour la raconter, l'Histoire. Celle de tous ceux qui y croient encore ou qui y ont cru comme mes parents, comme moi je l'ai cru, au tremblé de la vague. » La douceur de la terre et l'esclavage, la végétation luxuriante et les nattes à même la terre battue, la lumière éblouissante mais aussi les orages qui ravagent... Un superbe récit, à l'écriture sobre et maîtrisée, dont la chaleur et la générosité estompent la douleur. |
MADA [texte imprimé] / TRISTAN CLAIRE, Auteur . - [S.l.] : ENCRE BLEUE EDITEUR, 2008. - ( LARGEVISION) . ISBN : 978-2-84379-426-1 Oeuvre : MADAACHAT 2008
Catégories : |
ROMAN
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Résumé : |
Une histoire qui mêle le passé et le présent de cette femme à la tendresse grosse comme le monde, son enfance à Madagascar où ses parents ont été poussés à partir par le gouvernement français en 1951, le retour à La Réunion, son père alcoolique qui rêve toujours de l'impossible eldorado malgache, son époux trop souvent fataliste, ses quatre enfants dont l'une encore toute petite est morte du palu. « Oui, il en faudrait, des livres, des dizaines de rayonnages, des centaines d'ouvrages, des milliers de pages, pour la raconter, l'Histoire. Celle de tous ceux qui y croient encore ou qui y ont cru comme mes parents, comme moi je l'ai cru, au tremblé de la vague. » La douceur de la terre et l'esclavage, la végétation luxuriante et les nattes à même la terre battue, la lumière éblouissante mais aussi les orages qui ravagent... Un superbe récit, à l'écriture sobre et maîtrisée, dont la chaleur et la générosité estompent la douleur. |
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