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A L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVE LA VIE / GUIBERT HERVE
Titre : A L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVE LA VIE Type de document : texte imprimé Auteurs : GUIBERT HERVE, Auteur Editeur : FRANCE LOISIRS Année de publication : 1991 Titres uniformes : A L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVE LA VIE Langues : Français (fre) Catégories : ROMAN Résumé : J'ai eu le sida pendant trois mois. Plus exactement, j'ai cru pendant trois mois que j'étais condamné par cette maladie mortelle qu'on appelle le sida. or je ne me faisais pas d'idées, j'étais réellement atteint, le test qui s'était avéré positif en témoignait, ainsi que des analyses qui avaient démontré que mon sang amorçait un processus de faillite. mais, au bout de trois mois, un hasard extraordinaire me fit croire, et me donna quasiment l'assurance que je pourrais échapper à cette maladie que tout le monde donnait encore pour incurable. De même que je n'avais avoué à personne, sauf aux amis qui se comptent sur les doigts d'une main, que j'étais condamné, je n'avouai à personne, sauf à ces quelques amis, que j'allais m'en tirer, que je serais, par ce hasard extraordinaire, un des premiers survivants au monde de cette maladie inexorable. A L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVE LA VIE [texte imprimé] / GUIBERT HERVE, Auteur . - [S.l.] : FRANCE LOISIRS, 1991.
Oeuvre : A L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVE LA VIE
Langues : Français (fre)
Catégories : ROMAN Résumé : J'ai eu le sida pendant trois mois. Plus exactement, j'ai cru pendant trois mois que j'étais condamné par cette maladie mortelle qu'on appelle le sida. or je ne me faisais pas d'idées, j'étais réellement atteint, le test qui s'était avéré positif en témoignait, ainsi que des analyses qui avaient démontré que mon sang amorçait un processus de faillite. mais, au bout de trois mois, un hasard extraordinaire me fit croire, et me donna quasiment l'assurance que je pourrais échapper à cette maladie que tout le monde donnait encore pour incurable. De même que je n'avais avoué à personne, sauf aux amis qui se comptent sur les doigts d'une main, que j'étais condamné, je n'avouai à personne, sauf à ces quelques amis, que j'allais m'en tirer, que je serais, par ce hasard extraordinaire, un des premiers survivants au monde de cette maladie inexorable. Réservation
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